Découvert par Paul Gervais en 1872, Oreopithecus bamboli vivait il y a 9 MA en Toscane.
Etait-il bipède ou utilisait-il un mode de déplacement par brachiation ?
Des études anciennes, surtout fondées sur l’étude du bassin et des membres inférieurs, avaient conclu qu’il était bipède mais des résultats de recherches récentes ont remis en question cette conclusion.
En effet les caractéristiques anatomiques de la partie inférieure de sa colonne vertébrale (vertèbre lombaire et sacrum) très proche de celle des grands singes et différente de celle de l’homme qui présente une courbure spéciale (lordose) adaptée à la bipédie, suggère qu’il ne peut pas rester longtemps dans cette position et donc se déplacer debout longtemps et sur de longues distances.
En effet les caractéristiques anatomiques de la partie inférieure de sa colonne vertébrale (vertèbre lombaire et sacrum) très proche de celle des grands singes et différente de celle de l’homme qui présente une courbure spéciale (lordose) adaptée à la bipédie, suggère qu’il ne peut pas rester longtemps dans cette position et donc se déplacer debout longtemps et sur de longues distances.En effet les caractéristiques anatomiques de la partie inférieure de sa colonne vertébrale (vertèbre lombaire et sacrum) très proche de celle des grands singes et différente de celle de l’homme qui présente une courbure spéciale (lordose) adaptée à la bipédie, suggère qu’il ne peut pas rester longtemps dans cette position et donc se déplacer debout longtemps et sur de longues distances.En effet les caractéristiques anatomiques de la partie inférieure de sa colonne vertébrale (vertèbre lombaire et sacrum) très proche de celle des grands singes et différente de celle de l’homme qui présente une courbure spéciale (lordose) adaptée à la bipédie, suggère qu’il ne peut pas rester longtemps dans cette position et donc se déplacer debout longtemps et sur de longues distances.
En effet les caractéristiques anatomiques de la partie inférieure de sa colonne vertébrale (vertèbre lombaire et sacrum) très proche de celle des grands singes et différente de celle de l’homme qui présente une courbure spéciale (lordose) adaptée à la bipédie, suggère qu’il ne peut pas rester longtemps dans cette position et donc se déplacer debout longtemps et sur de longues distances.